Stéphane Coulon. Président

STEPHANE COULON                        
est le président de Furieux du Jeu Dit

FORMATION

. Maîtrise de Lettres Modernes  option cinéma et audio-visuel  (Université Sorbonne Nouvelle Paris III)
. D.E.A. cinéma et audio-visuel   (Université Sorbonne Nouvelle Paris III). en . . .   Doctorat cinéma et audio-visuel (Paris IV Sorbonne)

ACTIVITES PROFESSIONNELLES

Pour le ministère de l’éducation Nationale :
. Depuis 2003 : Professeur relais en Seine-Saint-Denis pour le dispositif « Collège au cinéma »
. Membre du jury du Prix de l’Éducation Nationale Cannes 2006 (président : F. Mitterrand)
. Formateur en Analyse Filmique (académie de Créteil), (entre autre, stages en liaison avec le Festival Côté Court de Pantin)
. Membre du Groupe Cinéma de l’académie de Créteil, pilotant tous les projets Cinéma (partenaires : Cinémathèque Française – Forum des images – Festivals du Films de femmes de Créteil – Côté Court de pantin …)
. 1996-2002 :   Formateur en Analyse Filmique à l’I.U.F.M. de Rouen ( Formation Continue) (stages du PAF-Formation des stagiaires en situation- conférences en amphithéâtre)
. Depuis 1999 : professeur de Lettres Modernes  (Collège Jean Lolive  Pantin  ZEP)
.1994-1999 :     professeur de Lettres Modernes (collège Saint-Exupéry Forges-les-Eaux ZEP  rurale)

ACTIVITES SOUTENUES

Pour le cinéma ou le théâtre :
. auteur de scenarii pour la société G.AV.E.P. (création de guides pratiques en vidéo)
. auteur d’un scénario Coup droit  (déposé à la SACD n°193100 et en relation avec une société de production parisienne)
. nouveau scénario Maspalomas déposé mi mars à la SACD et 2ème version à l’écriture avec un metteur en scène, issu de la FEMIS et primé au Festival Côté Court en 2007
. Fondateur et metteur en scène d’une association théâtrale semi-professionnelle en Haute-Normandie (deux participations au Festival Off d’Avignon  en 1991 avec Les Justes de Camus et   un spectacle autour des textes de Pierre Desproges en 1993)

Stéphane Coulon est né en 1961, à Le Tréport, un 10 avril.

Retour sur la page Des visages sur des noms